Les mitres rivetées sur les platines assurent la bonne tenue de la lame et ont la forme d’une tête de bébé oiseau.
Le ressort a été affiné au dixième de millimètre pour être assez souple mais suffisamment ferme à l’ouverture comme à la fermeture.
La lame, principal élément du couteau, à le tranchant en demie feuille de saule permettant un grand confort d’utilisation ; elle a la forme d’une tête de maman oiseau : son œil permet de l’ouvrir facilement sans ongle et même les mains glissantes. Elle est réalisée dans un acier inoxydable « le 12C27 » souple et solide pour une bonne coupe et un affûtage aisé.
Le Elcarpintero se ferme en deux temps pour éviter que la lame ne se referme sur les doigts, la lame ne touchant pas le métal à la fermeture.
Enfin, Elcarpintero peut se mettre dans un sac à main ou dans la poche sans abîmer grâce à ses jolies formes rondes.
Les matériaux et la fabrication :
Mon choix se tourna vers l’acier inoxydable pour les platines ces deux pièces (gauche et droite) assurant la solidité et l’ergonomie du couteau : elles ont la forme d’un corps d’oiseau.
La première chose était d’éviter les défauts de fabrication, d’ergonomie et de fonctionnalité que j’avais pu remarquer sur les fabrications antérieures.
Il fallait avant tout casser l’image du couteau agressif, avoir une bonne ergonomie pour différentes mains, et surtout avoir un bon tranchant.
Après plusieurs essais sur le papier, puis plusieurs maquettes en bois, plusieurs mois passèrent…
Des transformations se firent au dixième de millimètre près, puis la forme pris corps dans le métal.